• Hola ! Amigos !

    Hélas, le mois d’avril est le mois de la pluie, ce qui m’a amené à annuler une dernière visite de Cordoue qui m’aurait pourtant bien plu : voir les bains arabes (comme les bains turcs de Louis de Funès dans « al grande vadrouille ») ainsi qu’un vieux quartier plein d’orangers et de petites ruelles. Rendez-vous est donc pris pour une prochaine fois. Concernant les orangers, je n’ai pas assez insisté sur l’odeur omniprésente des fleurs dans les rues, expérimentation rare des descriptions digne des mille et une nuits de nos chers auteurs voyageurs du siècle passé.

    En tout cas, Cordoue nous aura enchantée avec ses murs blancs, ses faïences, ses petites places ombragées et ses patios tellement arabes.

     

    Cordoue 2

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    BOn, du coup on a goûté quelques tapas, mes préférés étant les tortillas. Depuis une incursion dans la vie espagnole il y a 25 ans de ça, j’ai vainement essayé d’en refaire à la maison. Ce n’est pourtant pas compliqué, à priori, de faire une omelette épaisse aux pommes de terre! Mais non. Je n’ai jamais réussi à rendre quelquechose comme les tortillas espagnoles. Bon, pour le reste, hormis les « churros », ces beignets que l’on trouve, finalement, dans toutes les fêtes foraines, il faut avouer que la cuisine espagnole n’est pas réputée internationalement, et que ce n’est heureusement pas pour ça qu’on vient ici.

     

    Avec les Duduland, nous étions dans un bar typique avec une déco superbe d’affiches de Flamenco, et nous décidons de commander un dessert typique dont nous avons vu le nom affiché un peu partout dans les ruelles, aux cartes des bars et restaurants. On en a déduit que c’était réputé ET local. On commande donc ces « helados bombons », puisque c’est le nom…et on s’est retenus de rigoler quand on nous a apporté…ça !

    Cordoue 2

    Cordoue 2

    Cordoue 2

    Cordoue 2

    Cordoue 2

    A bientôt !

    (merci pour tout vos messages, je n'ai pas encore du tout le temps de les lire, ni de lire mes mails...ça va venir)


    3 commentaires
  • Hola ! les amis !

     

    Merci déjà pour tout vos messages, pas encore pris le temps de répondre à chacun mais le coeur y est.

    (Concernant les pubs, j'en suis désolée mais finalement je ne peux rien y faire, le blog est en essai, m'ont-ils dit, pour en mettre par défaut jusqu'à nouvel ordre. )

    Le cc roule vraiment bien, quel véhicule génial ! Depuis son nettoyage un peu poussé dans tous les coins de ses tuyauteries, il attaque les côtes allègrement et nous tape un tranquille 110 sur route plate. 

     

    Nous rattrapons enfin la chaleur mais le paysage, en quittant Ubeda, bien que plein d'oliviers, n'est pas à couper le souffle comme dans certains coins où nous avons pu aller précédemment. On a eu droit à de drôles de nuages avant hier...

     

    Ah ! je ne vous ai pas encore montré ma future maison ! La voici :

     

     Sur ce, nous voilà à Cordoue, ville de toutes les religions mélangées dû à la volonté du calife de l'époque (et après on dira que certains...gnagnagna..enfin, bon)...Donc on est ici en présence d'un truc unique en son genre : une mosquée-cathédrale !! Les 2 sont construites ensembles et intriquées de telle façon qu'une fois dedans, on ne distingue que difficilement l'une de l'autre. Magnifique ! Quelle leçon, non ? Bref.

    Après nous être garés tout proche de la vieille ville, on traverse le fameux Guadalquivir (originellement : Oued El-Khébir, d'où le nom quoi...) et on fait face à la Mezquita, la fameuse mosquée-cathédrale.

    Deux sympathiques indigènes...Ah ! non ! C'est Thomas et Julie ! haha !

     

     

     

    Trop drôle dans les magasins de souvenirs, des tabliers de cuisine en forme de robe de flamenca !

     

     

    L'enceinte extérieure de la Mezquita est superbe, très mauresque bien sûr, et, sans exagérer, on y retrouve assurément, dans ses tons ocres divers et ses dessins géométriques l'influence mélangée africano-arabe, qui n'est pas sans rappeler les façades yéménites qui, elles aussi, sont directement nées de ce mélange. Impossible donc de confondre ce style avec quoi que ce soit qu'on ait vu au Moyen-Orient, où l'influence, elle, y est indo-arabe ou arabe pure.

     

    La cour intérieure est plantée d'orangers hyper vieux, plantés je ne sais plus quand mais c'était il y a  très longtemps, et puisqu'on est au printemps, devinez quoi ? hein ? hein ? TOUT est en fleurs et l'odeur est SUBLIME ! 

     

    Un petit air de Provence... (on se croirait à Aix..)

     

    Et les fameux piliers de l'intérieur de la Mezquita. Il y en a 1000 !!! 

    Il y fait tellement frais, malgré la chaleur, encore douce cependant, de dehors, qu'on y a froid...

     

    Une coupole arabe magnifique, qui nous fait penser à l'Iran...

     

    Une déco catholique horrible, au pied d'une statue de pontife, qui nous fait penser à...l'enfer. Cool.

     

    Les robes des prêtres ou du ku-klux-klan ? haha ! 

     

    Ah ! Et, ci-dessous, ma préférée, où on voit nettement le mix mosquée (arcades de droite) et cathédrale (devant)...

    Hasta luego !

     

     

     

     


    5 commentaires
  • Et on a déjà plus envie d'en repartir !

    Et on se dit déjà qu'on va s'installer ici !

    Et ça fait seulement...un jour qu'on y est ! he

    Donc, on fait connaissance aujourd'hui avec les petites places, les bâtiments superbes et anciens, les églises typiques, les ruelles à balcons fleuris et les "hola !" et "buenos dias !" dans la rue...Super. Et encore, ce n'est rien à côté de ce qui nous attend.

    On vient de retrouver Nicole et Alain, les Duduland, des amis tour du mondistes avec leur Land aménagé qu'on a rencontrés il y a 3 ans. 

    ENFIN !On y est ! L'Andalousie !

     

    Ci-dessus, à Ubeda, notre première visite. Un bled perdu au milieu des oliveraies à perte de vue. On a goûté l'huile d'olive sur un pain avec de la tomate concassée (le petit dej espagnol du coin paraît-il) et elle est dé-li-cieuse ! (avis d'une connaisseuse wink2)

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

     

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    Ci-dessus, c'est une école de danse, des femmes y dansaient le flamenco mais je n'ai pas osé les prendre en photo. Génial de les entendre taper dans les mains et taper du pied...On va essayer nous aussi, à Séville...Olé !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    Et toujours ces perles de traduction qu'on trouve souvent à l'étranger cool

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

     

    Ci-dessus, un patio intérieur comme il y en a tant dans cette région...

     

    ENFIN ! On y est ! L'Andalousie !

     

    A part ça, tout va bien, on reprend nos habitudes de route, dedans comme dehors. L'autre soir, bivouaquant dans un petit village de montagne, au pied de la Sierra Guarramada, aussi silencieux que s'il n'y avait eu que nous, avec la neige pas loin (oui on a eu froid !), j'ai été réveillée par Thomas à 1h30 du matin, il avait une araignée dans sa bannette ! On a bien rigolé, obligés de sortir dehors en pyjama, avec l'araignée coincée sous une tasse contre l'oreiller...

     

    Allez, on file...

    Hasta Luego !


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  • Bonjour,

    Nous sommes toujours là et puisque patience et longueur de temps font mieux que force ni que rage, on ne rage pas. On n'a pas vraiment le choix de toute façon...

    Donc, le cc est à l'hôpital, on va lui changer le volant d'embrayage en lui remplaçant par un kit complet tout neuf et il rentre en salle d'op lundi ou mardi. Les pièces ont, en effet, mis du temps à venir sarcastic. On aurait dû repartir aujourd'hui. mais là non. 

    Donc ben...rien.

    On attend.

    erf

     

    We are still waiting for the spare parts to come to repare the camper still in the garage. We should have left today ...No choice anyway but wait. So we wait. Inch' Allah. 

    God bless you all.

     


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